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Voici le résumé d´une incroyable erreur judicaire qui s´est transformée en poursuite abusive et malicieuse contre un citoyen canadien. En 2001, dans la ville de Québec, cette cause judiciaire est passé pratiquement inaperçue. Des policiers et un procureur du ministère public, les mêmes qui ont agi dans l´affaire Simon Marshall, très médiatisée depuis 2005, s´en sont chargés.
Malgré de brefs articles parus dans la presse locale entourant le procès au criminel, cette affaire semble depuis vouloir être étouffée au grand public.

D´une part, les mobiles qui ont conduit à un complot lors de l´enquête policière, une enquête bâclée par de la direction de témoins et de la diffamation, avec l´implication de futurs policiers, deux connaissances de l´accusé, seront fournis et expliqués. L´enquêteur a ignoré les nombreux parjures de la plaignante malgré un élément de preuve irréfutable, un appel 911 (cliquez ici pour écouter l'audio) enregistrant la «fausse victime» Erika Harper dans lequel on constate qu´elle est calme et de bonne humeur cinq minutes après être sortie du domicile de Rock Guimont.

Malgré qu'elle ait affirmé avoir dit à l'opératrice du 911 s'être sauvée et faite faire des avances dans sa déposition du 17 novembre 2001 aux policiers, et déclaré, à l'enquête préliminaire, six mois avant le procès, courir, pleurer, être en état de panique pour se rendre à la cabine téléphonique, Érika Harper n'a pas été confrontée à ces nombreux parjures.

Toutes les autorités, l'enquêteur Louis Bernard de la police de Québec, le procureur de la Couronne Dominic Bouchard ont omis de confronter la plaignante à ses parjures.  Le comble, l'avocat de la défense qui représentait Rock Guimont malgré l'insistance de son client, a délibérément refusé de confronter Érika Harper à ces preuves de parjures.

D´autre part, il a été observé que les avocats de la défense et de la Couronne se sont placés en conflit d´intérêts étant des amis intimes qui s´invitaient à souper à leur résidence. Au procès, lors du contre interrogatoire, Rock Guimont a insisté pour que la plaignante soit confrontée à la preuve irréfutable du 911 mais son avocat s´est fâché ouvertement et il a refusé. Il a manqué ainsi à son devoir professionnel, celui d´agir dans l´intérêt de son client.

Cet élément de preuve était la clé du procès. Par le fait même, il est évident qu´il protégeait les parties adverses. La défense n´a pas été pleine et entière.

De plus, l´existence du lien de parenté entre Rock Guimont et le procureur général de l´époque n´a pas été évoquée. Entre les deux familles se trouvait une rancoeur de longue date, laquelle a dégénéré en vengeance personnelle contre un innocent. La vie du père biologique inconnu a servi de discrimination dans cet abus de pouvoir.

Attendu que les fondements de notre système de justice reposent sur la Charte canadienne des droits et libertés, l´article 11-D n´a pas été honoré par un procès équitable à la Cour du Palais de justice de la Ville de Québec.

À la suite d´une plainte déposée dans la nuit du 17 novembre 2001, Rock Guimont un aspirant policier sans antécédent judiciaire, à un mois de terminer sa formation, a été mis en état d´arrestation le vendredi 23 novembre 2001 soit six jours après la plainte alors qu´il assistait à un cours dans l´Ecole nationale de police du Québec. Dès lors, on l´a traité comme un criminel et traîné devant les tribunaux jusqu´à la tenue de l´enquête préliminaire en août 2003 et du procès avec juge et jurés, tenu au mois de février 2004.

Malgré un acquittement, à la suite de ce chef d´accusation odieux, Rock Guimont a perdu sa qualité de vie antérieure, son intégrité physique et mentale, sa dignité, sa réputation, des amis, un métier, une carrière. Plus de 100,000.$ en frais d´honoraires et autres ont été engloutis, le ruinant avec cette dette et laissant sa famille dans une situation financière très précaire. Trop éprouvée par le sort réservé à son petit-fils, la grand-mère est décédée quelques jours seulement après le verdict de non-culpabilité.

En dernier lieu, on lui a enlevé indûment tout recours en dommages-intérêts. Le préjudice excessivement grave causé à l´égard de ce citoyen canadien, le poursuivra jusqu´à la fin de ses jours. Le combat inégal sans relâche de Rock Guimont pour demander le respect de ses droits fondamentaux prendra fin lorsque la justice reconnaîtra ce raté judiciaire et que des poursuites criminelles seront entreprises contre la plaignante et le policier qui s´est parjuré lors du procès.

Le célèbre Psychiatre, le Docteur Pierre Mailloux, expert en comportement humain, lors d'une rencontre avec les directeurs du cabinet du Ministre de la Justice et de la Sécurité Publique, a affirmé hors de tout doute que la fille de 18 ans n'avait pas été agressé sexuellement.

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